![Recover better - UN-iting businesses for a better world](https://www.fagerhult.com/cdn-cgi/image/width=2000,quality=80,fit=scale-down,onerror=redirect/globalassets/global/_news/2020/recover-better/girl_in_wood.jpg)
Recover better - UN-iting businesses for a better world
In a time of global disruption, ambitious climate action is as urgent as ever. The United Nations has therefore worked continuously to unite business efforts with governmental initiatives, for the past 20 years. But in order to meet the 17 UN Climate Goals, and reach the 1,5˚C by 2030, we need to Recover Better.
UN GLOBAL COMPACT
Taking action on climate change represents one of this century’s most defining topic. To recognize the transition to a zero-carbon economy is the only way to secure a sustainable future for all. Launched in 2000, by former UN Secretary-General Kofi Annan, the UN Global Compact was initiated to bring business and the United Nations together. When businesses unite, they are a powerful force for good by upholding universal principles in the areas of human rights, labour and the environment.
Although important progress has been made, the actions do not currently match the ambition and pace necessary to achieve the 17 Sustainable Development Goals by 2030. The Sustainable Development Goals Report 2020 shows that humanity is on an unsustainable path, with climate change occurring much faster than anticipated, accelerating ocean acidification, 1 million plant and animal species at risk of extinction, deepening inequality and persistent poverty, and unsustainable consumption and production patterns.
All stakeholders must unite to transform this collective aspiration into reality. The aim with the UN Global Compact is to uniting business for a better world. From that goal the initiative “Recover better” was born.
RECOVER BETTER
When celebrating the 20th anniversary of the UN Global Compact, an event themed “Recover Better, Recover Stronger, Recover Together” was arranged. It was a platform where leaders from business, civil society, Governments and the UN were challenged to reflect on the importance of collaboration and public-private partnerships. The goal was to increase their ambition to achieve the sustainable development goals.
The Recover Better statement was signed in June 2020 by approximately 150 different companies, including well-known brands as the H&M Group, Husqvarna Group, Inter IKEA Group and INDITEX, to just name a few. The core of the agreement is divided in three areas:
- DEMONSTRATE THAT THE BEST DECISIONS AND ACTIONS ARE GROUNDED IN SCIENCE.
By implementing ambitious science-based targets, we aim to set the world on a 1.5°C trajectory leading to healthier and safer people, and a healthier and safer planet. - INVEST IN RECOVERY AND RESILIENCE FOR A SYSTEMIC SOCIO-ECONOMIC TRANSFORMATION.
By divesting from fossil fuels and innovating in low-carbon, resilient solutions, we are prioritizing green jobs and sustainable growth, protecting nature and people, and delivering on the 2030 Agenda and the Paris Agreement. - WORK WITH GOVERNMENTS AND SCALE UP THE MOVEMENT.
By advocating for enabling policies aligned with a 1.5°C trajectory and zero carbon economy, we look to policymakers to give businesses the confidence and clarity they need to take ambitious climate action.
HOW CAN THE LIGHTING INDUSTRY PARTICIPATE?
It is very visible in the Overshoot day-graphic, that us humans has for a long period of time consumed over our assets. And to be able to meet the needs of a growing population, we need to household with our resources more efficiently. This is a challenge for all industries and organisations, not only producing companies.
- Changing the current state for the climate, is not an individual task, says Niclas Thulin, Environmental Coordinator at Fagerhults Belysning. It is a joint effort, that we must do together. Set in the context of Covid -19, the reality has showed more than ever before how connected we humans are, and how our actions echoes worldwide. We are working very actively at Fagerhult to reduce our carbon footprint and are constantly seeking to develop our effort and our ways of working – to contribute to a more sustainable future.
Thulin continues:
- We have done lifecycle assessments on some of our luminaires, where we have analysed the environmental impact during our products lifetime. We have found that the biggest environmental impact occurs from when the luminaires are in use. This is why the choice of energy – renewable sources, coal or nuclear – makes a great difference in the carbon footprint. Another important issue which will affect the carbon footprint is the energy consumption during usage. It can be decreased very effectively with smart controls, such as sensors in our solutions. Together, these are both simple options, but also possibilities of making conscious choices which can contribute to decrease climate impact significantly.
TEXTE MARIA VÅRENIUS
PHOTO TINA STAFRÉN, ANNA SIGGE
Actualités
![Certaines études nous montrent la voie : comment la pollution lumineuse affecte-t-elle les animaux et les personnes ?](https://www.fagerhult.com/cdn-cgi/image/width=540,quality=80,fit=crop,onerror=redirect/globalassets/global/_news/2024/bioinclusive-2/istock-539953364.jpg)
Certaines études nous montrent la voie : comment la pollution lumineuse affecte-t-elle les animaux et les personnes ?
Mesurer l’effet de la lumière sur les humains et les animaux est une tâche complexe. Pour choisir le bon éclairage à l’avenir, il est indispensable d’améliorer les connaissances et d’adopter des normes que les décideurs doivent respecter. L’institut de recherche RISE s’emploie à développer des méthodes de mesure pour caractériser l’environnement éclairé et créer ainsi les base des normes futures. Cela oblige également à évaluer l’acceptation de nouvelles solutions d’éclairage développées dans l’espoir d’un impact écologique réduit. La pollution lumineuse affecte les humains et les animaux, mais il n’est pas facile de savoir quelle est la lumière adéquate pour chaque lieu, et dans quelle lumière les humains et les animaux sont le plus à l’aise. Pour prendre des décisions bien fondées à l’avenir, il faut acquérir davantage de connaissances. Maria Nilsson Tengelin est physicienne et chercheuse en photométrie et radiométrie au RISE - Research Institutes of Sweden. Elle travaille avec des mesures de la lumière et des projets de recherche liés à la lumière qui constituent la base des normes et des directives relatives à l’éclairage extérieur. « Disposer de davantage de connaissances vous permet de prendre des décisions plus équilibrées. Il n’existe aucune solution adaptée à toutes les situations, mais en fonction des conditions en vigueur, vous pouvez trouver la voie adéquate à suivre », explique Maria Nilsson Tengelin. Maria Nilsson Tengelin, physicien et chercheur à RISE. Des études minutieuses et précises Dans le cadre du projet « Éclairage extérieur écoénergétique avec réduction de la pollution lumineuse », Maria Nilsson Tengelin a collaboré avec Annika Jägerbrand, de l’Université de Gävle, et Alp Durmus, de l’Université d’Etat de Pennsylvanie, aux États-Unis. Dans le cadre du projet, un banc d’essai a été construit sur une piste cyclable dans une zone naturelle située à la périphérie de Borås, dans le sud de la Suède. Pendant une semaine, les lampes existantes ont été éteintes et des poteaux temporaires équipés d’appareils de Fagerhult ont été installés. Ces luminaires avaient différentes températures de couleur: blanc neutre (3 000 K), blanc chaud (2 200 K) et orange (1 800 K). Chaque luminaire était équipé de deux types d’optiques différents, l’un qui créait une large diffusion de lumière et l’autre muni d’un écran, diffusant plus de lumière sur la route et quasiment rien sur les côtés. Ainsi, il a été possible d’examiner différentes températures de couleur et une diffusion étroite et large de la lumière dans différentes combinaisons. L’installation a été évaluée à l’aide de mesures de lumière au sol traditionnelles et d’une méthode nouvellement développée où un drone a été utilisé pour mesurer comment la lumière s’est propagée vers le ciel et plus loin aux alentours. Dans l’enquête, cinquante-six personnes ont marché le long de la route, puis ont répondu à une enquête sur leur expérience de l’environnement d’éclairage selon les différents paramètres d’éclairage. La photo vient de Simrishamn, où l'éclairage extérieur de Fagerhult illumine la ville. « Les participants devaient indiquer, entre autres, quel éclairage ils préféraient, et s’ils étaient prêts à faire certains sacrifices si c’était bénéfique pour l’environnement. L’objectif du projet était de découvrir comment mesurer de manière fiable la quantité de pollution lumineuse, et comment nous pouvons réduire les effets négatifs de l’éclairage extérieur, tout en veillant à ce que l’environnement d’éclairage soit suffisamment correct pour les gens », déclare Maria Nilsson Tengelin. La majorité absolue des participants préférait la lumière blanche (2 200 K et 3 000 K) et seul un très faible pourcentage indiquait qu’ils préféraient la lumière orange. Lorsqu’on leur a demandé si un autre éclairage pouvait être acceptable pour des raisons environnementales/énergétiques, le pourcentage de personnes qui pouvaient envisager un éclairage orange augmentait. « L’expérience sur le terrain a montré que 1 800 K offrait une visibilité moindre et une expérience moins agréable en matière de sûreté et de sécurité. En règle générale, les femmes considéraient que l’environnement était moins sûr. Mais l’acceptation de la lumière orange augmente avec la prise de conscience de ce que l’impact écologique est mieux pris en compte.. Quote Block - Maria Une nouvelle méthodologie de mesure Le prochain projet de coopération porte sur le développement ultérieur de la méthodologie pour ces mesures. L’objectif est de mettre au point une nouvelle méthode pour évaluer et mesurer la diffusion de la lumière dans les environnements urbains et les cours d’eau qui doivent être protégés. « Nous examinons les points, les paramètres et le nombre de mesures qu’il faut respecter afin de garantir la précision et la fiabilité de la méthode pour évaluer l’impact environnemental de la lumière. Le projet consiste également à définir ce qui doit être inclus dans une norme. À l’heure actuelle, la lumière est mesurée en mettant l’accent sur la manière dont elle exerce sa fonction pour les personnes, sur la chaussée, et sur la manière dont elle se reflète dans les visages des gens qui arrivent en face, et de sorte qu’elle ne soit pas éblouissante ou gênante pour les personnes présentes à proximité. La lumière diffusée n’est cependant pas mesurée dans les géométries et les niveaux pouvant être significatifs pour les animaux et les plantes. Les bases des normes actuelles sont établies en fonction des valeurs limites pour l’expérience humaine, mais les nouvelles valeurs seuils doivent être mises en lien avec les animaux et la nature. « Bien des gens ont de bonnes ambitions très valables, mais on ne dispose pas encore d’une documentation suffisante pour savoir de quelle manière il faut effectuer ces mesures, ou même sur ce à quoi elles doivent se rapporter. De nombreuses études écologiques sont menées chaque année, mais souvent elles ne sont pas conçues pour rendre les résultats utilisables pour planifier l’éclairage. De nouvelles directives et une norme mieux élaborée nous fourniront de meilleures possibilités, et nous espérons faire de grandes différences », conclut Maria Nilsson Tengelin. Il s’agit là de la deuxième partie de notre série d’articles sur l’éclairage bioinclusif. La prochaine fois, nous rencontrerons Henrik Sandqvist, chef de produit pour l’éclairage extérieur chez Fagerhult, qui parlera de la façon dont nous adaptons nos solutions d’éclairage pour répondre aux besoins des personnes et des animaux. Vous pouvez trouver l’article précédent ici. Annika Jägerbrand (l’Université de Gävle), Maria Nilsson Tengelin (RISE) and Henrik Sandqvist (Fagerhult).![Moins de lumière, une gestion plus intelligente et davantage de respect de l’écologie](https://www.fagerhult.com/cdn-cgi/image/width=540,quality=80,fit=crop,onerror=redirect/globalassets/global/_news/2024/bioinclusive-1/insekter_webb.jpg)